La rive brésilienne : Iguaçu Lieu visité le 22 octobre 2015 et publié dans Argentine, Brésil Travelers' Map is loading... If you see this after your page is loaded completely, leafletJS files are missing. _____________________________________________ On reprend les mêmes, on les met sur l’autre rive, et on recommence… Au bout, pas de gagnant, que du bon! La rive brésilienne : Iguaçu Aujourd’hui, c’est depuis le côté brésilien que je vais jeter un coup d’oeil aux chutes. Les points de vue y seraient moins spectaculaires, mais j’attends de voir. Et puis je vois aussi où je suis passé hier, comme ici cette passerelle, où des oiseaux nichaient sous une corniche. Pour le moment, je ne vois que les lieux déjà vus la veille. La chaleur et l’humidité sont étouffants… Mais les animaux s’en accomodent… Ou très gros. Ou anodins. Allez savoir quel papillon elle donnera, elle!?! En face, l’eau coule et la vie continue. Il y a ce que j’ai cru être une île, la veille, qui est parcouru d’eau et où des centaines d’oiseaux nichent, c’est incroyable. D’autres endroits, moins anciens mais tout aussi important pour leurs occupants, servent à flatter l’égo, mais aussi à avoir une belle vue. Et quelle vue! Plus haut, c’est la fameuse Gorge du Diable. 90 mètres de hauteur, c’est un sacré saut… Les chutes Victoria, sur le Zambèze, culminent à 107 mètres. Le Niagara à une 50aine. L’eau est partout, y compris dans l’air. Et les oiseaux aussi : ceux-ci nichent dans ces herbes… Puissant, non? Et dire qu’il y a encore plus d’eau à l’automne!!! Dernier coup d’oeil sur la Graganta do Diabo… Je l’ai ratée hier du côté argentin, mais j’en aurai profité aujourd’hui! C’est que j’ai le Parque das aves à visiter : le parc des oiseaux, un jardin zoologique peuplé des espèces d’oiseaux locaux. Je n’ai qu’une toute petite heure avant de prendre le dernier bus pour Puerto Iguazù. Je passe de serre en serre… Inutile de dire que je vois un tas d’espèces toues plus étonnantes que colorées… Le toucan étant le clou du spectacle! Allé, une dernière fois… Il a beau crier, ou chanter peut-être, tout va bien, aucune animosité : il est là pour se laisser tirer le portrait. Non, si? Encore une dernière! Et non, ça ne sont pas des casoars. Il y en avait, mais ça ne monte pas sur les arbres. Ceci dit, des arbres avec des perroquets, c’est bien plus coloré! Allé, il est temps de rentrer. Dernière nuit argentine, ce sera mieux pour mon porte monnaie, ce avec quoi le chauffeur de mon bus est bien d’accord. Demain, journée de transit, en avion à nouveau : Brasilia se trouve à 1200 kms au Nord. Mon avion est à 15H30 pour une arrivée à Brasilia à 19H17, via Curitiba. Je pense avoir le temps de faire la visite du barrage d’Itaipu, tout près, mais c’est peine perdue. J’ai dû filer directement à l’aéroport de Foz Iguaçu, ville où j’ai vu des 10aines de fast foods arabes : c’est l’origine de l »immigrant local, à priori. Ici, à gauche, l’Argentine ; en face : le Paraguay ; à droite : le Brésil. Gros temps gris pour Curitiba, pas grand chose à voir, mais ces mines à ciel ouvert, quand même… Après, ça reste de l’avion. Et puis une ville de Curitiba que j’imagine assez européenne, sous la pluie. Il faut dire qu’il y avait à ce moment là beaucoup d’innondations dans la région… Mais à demain, à Brasilia. Etiquettes de l'album photo : Animaux, Chutes d'Iguaçu, Merveilles de la nature, Paysages tropicaux, UNESCO - Patrimoine mondial de l'humanité
