Alors, Saugues, outre le pays de la bête du Gévaudan, c’est l’obligation de manger les côtes de blettes de mauvaise mémoire servis au restaurant, avec l’étonnement de les manger de bon appétit ; c’est un camping municipal au bord du terrain de foot où je monte ma tente dans le noir, alors qu’il fait déjà assez frais ; c’est aussi la possibilité de recharger mon matos, encore une fois et malgré les précautions techniques et matérielles prises avant mon départ. C’est surtout une nuit froide pour laquelle mon matériel de camping était pour la peine un peu léger. C’était le recherché puisque je ne voulais pas voyager trop lourd, mais moins 7°C en plein mois d’août, c’est bien parce qu’on était à 960 m! Bref, sommeil en PLS et réveil à 6H puis 9H15 parce qu’il faut bien dormir avant le lever suivi d’une course après le personnel pour payer ma nuit à 8€. Sensation bizarre, ne me demandez pas pourquoi, mais au moins était-ce propre et sans le flicage dont je fus l’objet la veille au Puy! Bref, direction l’Aubrac, pour deux nouvelles étapes et un bon gros 1300 m de D+, j’estime, vu que l’électronique m’a lâché une 2de fois. Et 67 groupes de pèlerins doublés!
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