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Les printemps, je les vis musicalement aussi depuis 25 ans, avec des festivals marquants, année après année, toujours à ce rythme aussi syncopé que chaud et attachant. Hélas, les retours sur scène des années 2000 et 2010 se font de plus en plus rares, et il est désormais question, avec cette génération de groupes et chanteurs jamaïcains qui marquèrent les années 1960, de profiter autant que possible de chacune de leur apparition. La venue des Pioneers à Toulouse est exactement ce cas de figure.
Quand c’est, en plus, l’occasion de revoir les frangins et les copains, l’aubaine est décidément immanquable. Alors cette année, c’est au D3, une petite salle de banlieue, que 200 privilégiés auxquels je me suis joint, assistent au concert des jamaïcains et de formations européennes, que les copains montés en une énième association locale, ont invités. Et ce, à défaut de pouvoir les faire venir à Lyon, en dépit de la motivation d’éléments incontournables de la scène gone, en premier lieu Vince Rasputin Skankey Tunes, parti bien trop tôt, et auquel je dédie ce post, là où il est.