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Voilà une semaine que je suis au Brésil et je commence à prendre mon rythme ; les petits déjeuners pris dans les auberges de jeunesse réservées avant mon départ sont amplement suffisants pour tenir une bonne partie de la journée : jus de fruits en tous genres, bien que pas purs et avec quelques surprises au niveau goût -les fruits exotiques ne sont pas toujours super sucrés et savoureux!-, charcuterie, aussi, céréales à la demande, fruits, lait, café, pain à volonté : il y a de quoi entamer la journée sur le bon pied. Et vus les kilomètres parcourus, il faut bien ça.
Et puis, je ne pense pas qu’on meure de faim, au Brésil : j’ai déjà évoqué les restaurant au kg, où l’on paie en fonction du poids du contenu de l’assiette : il y a moyen de bien manger, bien varié, pour vraiment pas cher. Mais c’est pour les dîners que j’ai privilégié cette solution. Bon, il ne faut pas être non plus trop pointu : les produits et la cuisine sont locaux, mais évidemment, on aura plus de chances de trouver une vraie spécialité bien cuisinée au restaurant. Les lanchonetes, ces fast foods, proposent un tas de petits pains fourrés au fromage, à la saucisse, jambon, etc… Pour les coups de mou, c’est parfait, accompagné d’un Guarana, le soda de production brésilienne à base de graine de guarana : cette dernière serait celle qui a le plus de concentration en caféine au monde. C’est généralement, avec l’encas salé, ce qui me sert de repas de midi, en fonction de mon temps, tout en passant d’une visite à l’autre.
Et puisqu’on est dans les boissons, j’ai déjà évoqué la bière, qui fait partie de mon quotidien avec les différentes marques locales fort rafraichissantes, mais il y a bien évidemment le café… Et là, c’est un peu l’histoire du cordonnier toujours le plus mal chaussé! Enfin, pour les amateurs de café à l’italienne, passez votre chemin. Pour le plus grand producteur de café au monde, c’est un peu gênant, mais ce sont peut-être finalement les italiens et ibériques qui ne sont pas normaux. Le bon côté, c’est qu’on en trouve très facilement, partout, souvent servi déjà sucré, d’ailleurs.
Et puis enfin, l’eau : certaines villes ont des problèmes avec leur consommation d’eau, telle Rio de Janeiro. Mais pour ce qui est de boire et de s’en procurer, du moins dans les sentiers touristiques dont je ne me suis pas beaucoup éloigné, il y a toujours quelqu’un pour vous vendre une bouteille d’eau minérale fraîche. D’ailleurs, j’ai noté, dès mon arrivée, qu’aucune contenance n’équivalait à ce qu’on trouve en Europe : tous les contenants sont plus grands! La folie des grandeurs, peut-être. Cette folie des grandeurs qui à Ouro Preto a donné de bien belles choses…
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