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Fogo, Santiago, Sal, tel est l’itinéraire du jour. Non sans quelques surprises tout au long de la journée, mais puisque je finis par écrire ces lignes, c’est que tout s’est bien passé avec, arrivés à Sal, un dernier steack de thon chez Camara Camara -le meilleur de l’archipel pour ce que j’ai pu goûter!-, une dernière soirée au Reggae Bar, pour la forme, et une nuit de repos bien méritée avant notre départ pour Lyon via Lisbonne le 22 mars à 13H30.
Notre taxi, que nous avons pris à notre arrivée à Sal vers 21H puis le lendemain pour nous ramener à l’aéroport, nous a expliqué qu’il avait trois femmes et je ne sais plus combien d’enfants, et que pour cette raison, il devait beaucoup travailler.Tant qu’il arrivait à entretenir tout le monde, il n’y avait pas de jalousie et tout se passait bien. Ok. Il nous expliquera aussi que les Tarrafal sont souvent, sur les îles, les endroits où il y avait les prisons, ce qui me reste encore à vérifier. Bon, lui au moins me confirme que, si, les capverdiens suivent le championnat portugais : ahah, ce qu’on peut évoquer comme questions pour ne pas rester silencieux, les yeux rivés sur la route.
L’aéroport de Sal, côté hall de départ, n’a rien à voir avec celui avec lequel nous avions fait connaissance presque un mois avant : moderne et surtout, bondé! Bondé de blancs à la peau écarlate en partance directe pour Manchester ou encore Naples, à cette heure-ci. Stockholm était aussi dans les nombreux départs de ce début d’après-midi. C’est en réalité peu de choses puisque notre taxi nous a assuré qu’il y avait plus de 20 vols quotidiens qui arrivaient et repartaient, tout en nous en récitant les horaires. Nous avons vu et bien cru!
C’était un voyage formidable, bien loin de ce à quoi nous étions habitués, et la question d’un retour sur place s’est déjà posée. Les conditions ne seront peut-être pas les mêmes, les îles non plus, avec une préférence pour Santo Antão et Fogo ainsi que la découverte de São Nicolau et Brava. Mais il y a encore tant et tant de choses à voir, ne serai-ce que dans le monde lusophone! Et comme ça n’est pas le seul… Qui vivra verra! Adeusinho!
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