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Marrakech ne m’aura pas laissé de souvenir indélébile : nos flâneries n’étaient peut-être pas les bonnes, mais après Fès, c’était un endroit beaucoup trop occidentalisé, certainement, pour l’exotisme que j’attendais. Mais avec le recul, c’est peut-être le mode de visite qui n’était pas le bon. L’avenir me le dira peut-être!

Nous devions quitter les lieux, un bateau nous attendait le lendemain à Tanger. Abandonnant nos amies suissesses, il fallait donc remonter une bonne moitié du Maroc pour en atteindre l’extrême Nord. Et c’est en taxi que nous choisîmes de le faire, dans un véhicule Mercedes au kilométrage plus près du million que du zéro, et accompagnant jusqu’à trois voyageurs locaux… Oui, les déplacements ont ou en tout cas avaient du charme au Maroc!