Images du quotidien…
Les syriens aiment danser. C’est très bon enfant, et faire la fête n’est là-bas pas dépendant de la consommation d’alcool. Ce qui rend les ambiances spéciales (à Damas).
Derviche tourneur, dans un restaurant.
Les derviches tourneurs font partie de l’ordre Mevlevi, ordre musulman soufi fondé à Konya (Turquie) au XIIIe siècle.
Les derviches tourneurs sont appelés ainsi en référence à leur danse, samâ’ ou sema, qui consiste à tourner sur soit-même.
Le derviche tourne sur lui-même de plus en plus rapidement, de façon à entrer en contact avec Dieu.
Lorsqu’il a atteint cette forme de transe, il déploie ses bras, l’un tourné vers le ciel, pour reccueillir la parole d’Allah, l’autre tourné vers le sol pour l’y répandre.
Inutile de dire qu’une telle manifestation plaît aux touristes…
Et essouffle le pratiquant (à Damas).
Un cinéma à Damas. Aux dires des locaux, la majorité des clients des salles obscures sont des hommes et autres militaires, pour des affiches composées essentiellement de films d’action et érotiques.
Fumer le narguilé est un usage très répandu dans toutes les couches de population ; la pratique fut remise au goût du jour dans les cafés et autres salons de thé lors de ces dernières années (Damas).
Un libraire de rue. On admirera la composition de son étalage… (Damas)
La Syrie est un pays en voie de développement. Pays arabe à la base socialiste, il s’ouvre peu à peu à l’économie de marché, comme en attestent ces deux pubs (Damas).
Désolé pour ceux ou celles qui n’aiment pas le football : c’est pourtant ce que l’on appelle un sport universel. Ici, sur l’île d’Arwad, devant un hammam désaffecté.
L’intérieur du Hammam en question sert de terrain de jeu à des Tarzan en herbe (Arwad)…
Qui se prêtent volontiers au jeu de la photo…
Une corde, du vide, c’est si simple de s’amuser (Arwad).
A Arwad, touristes et narguilé.
A Tartous, un Lambretta.
Mon guide se prêtant au jeu de l’escalade. On est bien obligés de rentrer, et pour cela, le meilleur chemin est le plus court, quitte à se casser le cou. C’était la session « Indiana Jones » du voyage.
Château de Saladin, moto, narguilé, le décor est planté, de quoi passer un long moment bien tranquille.
A Latakia, boutique de supporters de football. Les syriens sont fous du Barça ou du Real Madrid principalement, mais ça fait plaisir de voir ce drapeau comme représentant de ce sport.
Toujours à Latakia, la vitrine d’un magasin de jouets. Les coccinelles, peluches ou pas, semblent s’en donner à coeur joie.
Entre Latakia et Kassab, sur la route. Le paysage, et puis surtout le portrait du président, qui est absolument partout : n’en est-ce pas une preuve?
Sur la plage, à la frontière avec la Turquie. L’eau est bonne, mais ces dames ne se baigneront pas.
Pêcheurs d’éponges?
A Alep comme à Damas, il est possible de se restaurer à toute heure du jour ou de la nuit, que ce soit dans un restaurant ou encore dans la rue, comme ici.
Il suffit ensuite de traverser la rue pour avoir un milk shake fabriqué devant le client.
Un cinéma à Alep…
Avec Crying Freeman à l’affiche. Un film hong-kongais sorti en France en 1995. On admirera tout de même la fresque.
Entre Saint-Siméon et Alep, paysage de pierres calcaires et moutons…
Toujours sur la route de Saint-Siméon à Alep, moutons et cultures, pomme de terre et oliviers ici.
Pierre, terre rouge, un certain contraste (Saint-Siméon à Alep)
Curieux trimoteur… (Saint-Siméon à Alep)
Une des nombreuses maisons en construction, celle-ci richement décorée (Saint-Siméon à Alep)
Ruines de château. Cette région et le sud d’Alep, compte de nombreuses ruines, y compris des villages entiers désertés au VIe siècle et aujourd’hui appelés Villes mortes. Plus de 800, elles sont le témoignage d’une époque où cette région fournissait à l’Europe huile et blé. Avec la chute de l’Empire Romain suivi de l’installation de l’Islam, les débouchés commerciaux ont disparu, et une région entière s’est dépeuplée.
Mais il y a le passé et l’avenir : la Syrie est un pays en construction (Saint-Siméon à Alep).
Une scène footballistique (encore – Saint-Siméon à Alep).
Pâturage traditionnel (Saint-Siméon à Alep).
Cultures (Saint-Siméon à Alep).
Football, un peu plus loin (Saint-Siméon à Alep).
La pierre sert encore à la construction, ça va de soit (Saint-Siméon à Alep).
Paysage… (Saint-Siméon à Alep).
Alep n’est pas à l’abri des embouteillages malgré le prix exorbitant des automobiles.
Alep, au marché. Je ne sais pas ce que c’est : un fruit ou épice qui sert à parfumer la viande. Attention, la viande, pas le poulet, ce dernier n’étant pas considéré comme de la viande.
Pistaches : on est juste après la saison de la cueillette. Les pistaches que nous connaissons sont en fait enrobées dans cette coque rougeâtre.
Le backgammon est le sport national syrien. On y joue partout et à toute heure.
Pharmacie, Alep.
Etal d’olives, Alep.
Etal d’un bar à milk shakes (Alep).
Fruits secs à volonté (Alep).
Dans la rue, Alep.
Dans une cour jouxtant le souk de la vieille ville, Alep.
Jeunes écoliers à la chasse aux papillons devant la citadelle.
Ecoliers jouant au football devant la citadelle : un but vient d’être marqué et la joie est digne de celle d’un match de Champion’s League : le goleador finira sa course par une glissade de 3 mètres sur le ventre. L’uniforme n’en a pas trop pâti.
Pendant ce temps, de l’autre côté du mur, les plus âgés parlent, jouent, à l’ombre devant un tchaï.
Scène de football, Alep, devant la citadelle.
Une voiture importée voit à priori son prix majoré de 300% en arrivant en Syrie. Les vitres teintées sont interdites, sauf pour qui a les moyens de s’assurer la bienveillance de l’administration. A votre avis, combien a coûté ce Hummer? (Alep)
A As Suqaylabiyah, entre Hama et Apamée, une tour Eiffel qui tente être aussi haute que l’originale.
Le Trocadéro local.
Chargement de pommes de terre : c’est à priori la principale culture de la région (As Suqaylabiyah)
Il n’y en a pas trop sur les autres photos, mais je n’étais pas le seul touriste : juste un peu plus discret, c’est tout (Apamée).
Travailleurs des champs en fin de journée (Apamée).
Fin de journée aussi pour les vendeurs d' »antiquités », ceux qui sillonnent Apamée sur leur monture entre deux âges.
La présence du casque sur la moto est obligatoire, pas son port. Mais les syriens sont de vrais rebelles (Apamée).
Quand on parlait de rebelles, avec ce coucher de soleil, ce motard, etc, ça ne vous dit rien? (Apamée)
Les règles de transport ne sont pas aussi sévères qu’ailleurs… (Apamée).
Véhicule utilitaire local, à certaines heures remplis de travailleurs couverts du keffieh (Apamée)
M’aurait-on fait croire que ce sont de vrais casques romains? (Palmyre)
Le dromadaire fait forcément partie du folklore local (Palmyre).
Mais le transport à traction animale est toujours à l’ordre du jour (Palmyre).
Tente de bédouin à Palmyre, qui n’est donc pas qu’un tas de ruines mortes.
La vie suit toujours son cours ici, passé prestigieux ou pas (Palmyre).
Mariage, un lundi soir, dans une rue de Damas. Hommes et femmes le fêtent séparément : ici ce sont les hommes.
Un derviche tourneur (Damas)
La musique est entrainante, c’est du moins la plus entrainante que j’ai entendus durant mon séjour, un peu comme la musique traditionnelle des Balkans, avec cuivres, quelques percussions, et le tintement des épées de ces danseurs (Damas).
Et voici le marié, la star de la soirée (Damas)
La bonne ambiance est palpable (Damas)
Vendeur de tchaï en costume traditionnel (Damas).
Une de ces nombreuses américaines des 70s, témoin d’une autre
Le fruit ou légume dont tu parle avant les pistaches sont des Bamieh ou cornes grecques, délicieux cuits avec de la viande (en sauce).
Ah mais, tu lis alors? 😉
Quoi qu’il en soit, merci pour la précision, mon ami! 😀