Entre arènes et Rhône, conflits, migrations, intégrations

Deuxième volée d’expos, dans les rencontres et en off, pour commancer : la fondation Rivera-Ortiz touche à l’actualité tout en regardant dans le rétro, avec l’homme et ce qu’il subit du fait des conflits ou de l’exploitation, au centre de ses préoccupations. D’aucun trouveront le propos un peu trop actuel et pesant. C’est humain aussi… Trop?

La rue et, à la chapelle Mejean, les travaux de Taysir Batjniji, entre Gaza et les USA, enfoncent le clou et arrivent à déjouer les clichés : très intéressant, à défaut d’être passionnant. Et c’est très bien!




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